K-WAY - Univert Pauly Andrianne

K-WAY

Textile loisirs

L'histoire de K-Way commence en 1965 à Paris, lorsque le créateur de mode Leon-Claude Duhamel observe des Parisiens se faire surprendre par une averse soudaine.

K-way  : une création française

Son petit nom à consonnance anglophone a souvent fait oublier ses origines ch’ti. La pochette-banane de nylon qui se transforme en coupe-vent aux couleurs vives a en effet été imaginée par Léon-Claude Duhamel, fils d’un industriel du textile originaire du Nord-Pas-de-Calais. Rouge, jaune, bleu, vert s’immiscent ainsi dans le vestiaire terne des français qui n’avaient pas encore opté pour l’audace et la liberté des sixties.

Une révolution des codes et des mentalités était en marche, et K-Way, sans le savoir, y a contribué. Vêtement iconique et moderne, il est adulé autant que détesté dans les cours d’école des années 1970 et 1980. Devenu collector avec sa fermeture tricolore, le K-Way finit par disparaître de l’Hexagone alors que le mot a fait son entrée dans le dictionnaire aux côtés de Bic ou de Scotch.

Vingt ans plus tard, à l’aube des années 2000, l’élégance à l’italienne se prend d’affection pour le Claude ou Le Léon, les modèles originaux dont les coupes ont été revisitées. Glissé sous une veste, il devient LA touche fashion, légère, confortable, technique et ultra tendance.

Marc Jacobs, Maje, Petit bateau, Colette et l’Eclaireur lancent leur collection capsule avec la marque qui retrouve ses racines françaises en inaugurant ses premières boutiques. La gamme s’étoffe (doudoune réversible, parka, bagage, sac, polos…) et la qualité monte en gamme. Le K-Way 3.0 garde son ADN : protéger contre la pluie, le vent et le froid tout étant résolument pop, qu’il soit oversize ou cintré. Et voilà comment le K-Way ringardise le parapluie ! Qui peut résister au K-style ?

  • 1965 : Attablé au Café de la paix à Paris, Léon-Claude Duhamel distingue, dans le flux des imper gris, une femme et ses enfants vêtus d’un blouson de nylon rouge. Il griffonne ce qui deviendra “l’en-cas de”… pluie.
  • 1966 : La marque adopte le nom K-Way sur les conseils avisés d’Havas ; un clin d’œil à la mode américaine. Il s’en écoule pas moins de 250 000 exemplaires dès la première année de lancement.
  • 1980 : Sophie Marceau enfile un K-Way bleu marine dans le film La Boum et propage le virus à des millions d’ados.
  • 1992 : K-Way habille les bénévoles et l’équipe de France aux J.O d’Albertville. La même année, l’usine de fabrication brûle, tout part en fumée y compris les archives. C’est la fin d’une époque et le début d’une traversée du désert.
  • 2004 : Le groupe italien Basic Net flaire le potentiel de la belle endormie en rachetant K-Way. Mission accomplie, la marque est ressuscitée.
  • 2011 : Marc Jacobs s’empare du Claude en version coton imperméabilisé gris, distribué dans les boutiques Marc by Marc Jacobs.
  • 2013 : La première boutique K-Way ouvre à Paris au 35, rue de Charonne (11e).
  • 2014 : K-Way revient là où tout a commencé, dans le Nord avec l’ouverture d’une enseigne à Lille.
  • 2017 : En plus de ses trois boutiques déjà existantes dans la capitale, K-Way ouvre son premier flagship parisien au 21, rue du Temple (4e). Un nouvel espace de 100 m carrés dédié aux premiers fans de la marque mais également à une nouvelle clientèle française et internationale.

 

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